
Comment fonctionne la divination ?
Qu’est-ce que la divination ?
Le terme « divination » vient du mot latin divinare qui signifie « diviniser » et fait référence à une pratique développée par des civilisations anciennes telles que les Romains et les Égyptiens, entre autres, pour prédire l’avenir par l’observation des animaux, des objets et des constellations, ainsi que par l’interprétation des rêves et d’autres processus mentaux considérés comme étant de nature prophétique. Depuis les années 1950, la divination s’est répandue et est pratiquée par de nombreuses personnes dans le monde, notamment des médiums et des voyants, mais aussi des astrologues, des numérologues et des lecteurs de cartes de tarot, entre autres…
Comment cela fonctionne-t-il ?
Pour faire de la divination, un voyant consulte un animal, un objet ou un phénomène naturel avec l’intention de recevoir un message concernant l’avenir de la personne qu’il consulte (il peut s’agir d’une personne vivante ou décédée). Il doit choisir la méthode divinatoire en fonction de son niveau d’expertise, de sa connaissance du sujet et du type d’information qu’il souhaite obtenir.
Lors d’une consultation, le médium observe l’objet choisi pendant un certain temps et procède ensuite à l’interprétation de sa signification selon un ensemble de règles propres à chaque technique utilisée…
L’objectif de cet article est de proposer un nouveau modèle de la théorie de l’information basé sur le concept de réseaux dynamiques qui permet de comprendre la relation entre le temps et l’information en termes de structure temporelle, de dynamique et de propriétés physiques, et permet de les relier à leurs principes causaux respectifs : linéarité et non-linéarité (ou » chaos « ). Cette approche conceptuelle du temps et de l’information complète et améliore les approches actuelles de ces concepts basées sur les modèles traditionnels de la mécanique statistique et la théorie de l’information « traditionnelle » de Shannon, qui ne traitent que des instantanés statiques de données à des instants particuliers du temps sans tenir compte de la temporalité sous-jacente des processus qui génèrent ces données…